Pourla construction, il est souvent fabriqué avec du bois clair comme le peuplier, le bouleau ou le pin maritime. Comment le protéger lorsqu’il est utilisé pour un ouvrage extérieur ? Voici un exemple d’ouvrage avec des panneaux de contreplaqué : une extension accolée à une ancienne maison en pierres, située en centre ville.

Télécharger l'article Télécharger l'article Le vernissage du bois se réfère à la dernière phase de n'importe quel projet impliquant le travail de pièces en bois. Plus précisément, cela consiste en l'application de plusieurs couches d'un produit conçu pour le protéger, généralement transparent, qu'on appelle vernis ». Que vous restauriez un vieux meuble en bois ou que vous en construisiez un nouveau, vous allez lui donner vie avec une simple couche de lasure et de vernis. Commencez par poncer le matériau avant d'y appliquer une couche de lasure, puis de vernis pour le protéger et lui donner plus de charme. 1 Poncez le bois. Il va toujours présenter des défauts comme des fissures ou des creux. Que ce soit le résultat de la machine qui l'a découpé ou de son transport jusqu'au magasin ou jusqu'à chez vous, le bois s'use toujours. Avant d'y appliquer la couche de lasure, de vernis ou de peinture, vous devez le poncer pour vous aider à y appliquer les couches de matériaux par-dessus et éviter de faire ressortir les défauts de sa surface [1] . Si vous ne le poncez pas, le vernis ne va faire qu'accentuer les petits défauts et exposer les marques et les fissures. Commencez avec un papier de verre d'un calibre de 120. Dans la plupart des cas, cela va éliminer les défauts sans provoquer de problèmes majeurs. Vous devez toujours poncer dans le sens du grain du bois. Ne poncez pas dans le sens inverse. 2 Diminuez le calibre du papier de verre. Vous devez diminuer petit à petit le calibre du papier de verre jusqu'à ce que vous arriviez à 180 ou 220. Plusieurs passages de papier de verre vous aideront à éliminer les égratignures que les autres passages auraient pu laisser. 3 Examinez la surface. Demandez-vous si vous êtes satisfait du résultat. Vous pouvez utiliser une lumière très vive ou humidifier le bois avec un dissolvant à peinture pour faire ressortir les éventuelles imperfections. Si vous voyez des taches, vous devez repasser un coup de papier de verre. Cependant, vous allez faire empirer la surface si vous la poncez trop. Faites attention en essayant d'obtenir une surface la plus lisse possible. Certaines zones pourraient présenter des défauts que vous ne pouvez pas complètement faire disparaitre. 4 Essuyez la poussière de bois. Une fois que vous l'avez poncé, passez-y un coup de chiffon pour éliminer l'excès de poussière de bois créée par le ponçage. Même si vous pouvez utiliser n'importe quel type de chiffon, un tissu-éponge permettra d'éliminer plus de poussière. Si vous ne l'essuyez pas avant d'appliquer la lasure, vous pourriez créer des zones irrégulières et des taches. Publicité 1 Testez la couleur avant de commencer. Appliquez un peu de lasure sur une zone peu visible du bois, par exemple dessous ou sur une autre pièce du même bois. Si vous êtes satisfait de la couleur que cela produit, vous pouvez commencer à appliquer la lasure [2] . Si vous laissez trop de taches sur la surface du bois, vous n'allez pas vraiment en affecter la couleur, mais cela pourrait laisser de grosses plaques et une surface irrégulière. Lorsque vous préparez la lasure, vous devez toujours la remuer dans son récipient, jamais la secouer. 2 Appliquez-la avec un chiffon ou un pinceau. Étalez la lasure de manière uniforme en faisant attention de ne pas laisser de pâté ou de zones irrégulières. Un pinceau sera plus efficace qu'un chiffon et vous aidera à créer une couche de lasure plus régulière [3] . Lorsque vous trempez le chiffon ou le pinceau dans la lasure, vous devez faire attention de ne pas le laisser couler sur une surface où vous ne voulez pas en voir. Faites pénétrer la lasure dans le bois et assurez-vous d'en appliquer une couche uniforme. Repassez sur les coups de pinceau plusieurs fois pour étaler le produit et créer une surface lisse. 3 Calculez le temps de séchage. Commencez en l'appliquant sur une petite zone, par exemple le pied de la table ou le devant d'un tiroir, pour avoir une idée du temps de séchage nécessaire. S'il sèche trop vite, vous pouvez le rendre de nouveau liquide en en remettant un peu, ce qui devrait aussi le rendre plus foncé. Essuyez tout de suite l'excès de lasure. Une fois que vous savez combien de temps il faut à la lasure pour sécher, vous pouvez commencer à l'appliquer sur le reste de la surface. Si elle n'est pas assez foncée, vous pouvez en appliquer plusieurs couches. 4 Étalez la lasure. Continuez de l'étaler en passant le pinceau sur la couche fraiche et en essuyant l'excès avant qu'elle sèche. Attendez que la première couche soit sèche avant d'en ajouter une autre. Terminez toujours toute la surface avant de continuer. Ne remettez pas une couche sur une zone qui n'a pas encore été finie, car vous pourriez changer la couleur de la lasure. Publicité 1 Choisissez un vernis. Les vernis à base d'eau sont moins dangereux et ininflammables, en plus d'être plus écologiques que les autres types. Un vernis transparent en polyuréthane donnera au bois une bonne couche protectrice. Choisissez un vernis transparent avec le type de brillant que vous voulez donner à votre bois. Si vous vous procurez un vernis brillant, cela va faire briller votre bois plus que si vous aviez choisi un vernis mat. Les vernis à base d'eau peuvent parfois faire gonfler les fibres du bois à certains endroits. Appliquez des couches légères de vernis. Vous pouvez aussi poncer doucement les fibres qui dépassent après la première couche de vernis. Appliquez-en au moins deux couches supplémentaires par-dessus la première qui pourrait être plus poncée que d'habitude pour une couche de vernis. 2 Protégez le bois avec le vernis. Ce matériau va le protéger contre les dégâts, la saleté et les taches. Comme vous l'avez fait pour la lasure, utilisez un pinceau en poils naturels pour appliquer le vernis en suivant le grain du bois [4] . Remuez le vernis dans la boite avant de l'appliquer. Ne remuez pas le flacon. Cela va créer des bulles d'air qui vont ensuite se retrouver sur le bois. Les vernis en polyuréthane à base d'eau sont les meilleurs que vous puissiez trouver pour le bois nu, car ils mettent en valeur les caractéristiques du bois, par exemple son grain et sa couleur naturelle. Le polyuréthane à base d'huile peut faire durer votre bois plus longtemps en combinaison avec une lasure. La solution la plus facile à appliquer pour des pièces en bois décoratives est de mélanger un vernis en polyuréthane à base d'huile avec une même mesure de dissolvant à peinture. Il est facile de l'appliquer sans faire d'erreurs, mais ce produit ne va pas bien protéger le bois contre l'usure. 3 Appliquez le vernis avec un pinceau naturel. Vous pouvez aussi utiliser un pinceau en mousse d'environ 5 cm de large. Laissez sécher la première couche pendant la nuit. Vous devez appliquer plusieurs couches de vernis sur le bois. Laissez sécher la première pour pouvoir la poncer légèrement et la lisser avant d'appliquer d'autres couches. 4 Poncez le vernis une fois qu'il est sec. Utilisez du papier de verre de calibre 280 ou plus fin si la surface ne demande pas beaucoup de travail. Essuyez la poussière avec un tissu-éponge ou en passant l'aspirateur avant d'appliquer une deuxième couche. 5 Étalez la deuxième couche comme de la peinture. Si vous y voyez des bulles, éclatez-les en repassant le pinceau sur la surface pour la lisser. Lorsque cela est possible, suivez le grain du bois. Sur les surfaces plates, brossez d'un côté vers l'autre ou de l'avant vers l'arrière. Appliquez la couche de vernis la plus fine possible et alignez les coups de pinceau en rangées régulières pour obtenir une couche de vernis uniforme. 6 Poncez chacune des couches. Comme vous l'avez fait pour la première, vous pouvez poncer doucement chacune des couches que vous appliquez une fois qu'elle est sèche pour éliminer les saletés éventuelles. Comme d'habitude, essuyez-la avec un tissu-éponge ou en passant l'aspirateur. 7 Recommencez deux ou trois fois. Une fois que vous avez appliqué plusieurs couches de vernis, vous pouvez poser la couche finale. Ne la poncez pas par contre. Vous ne devez pas le faire, car cela ferait disparaitre la couche brillante et la finition sur le bois. Une fois qu'elle est sèche, vous pouvez l'essuyer avec un chiffon doux pour faire partir les saletés. Publicité Conseils Utilisez une lasure et un vernis vendus séparément au lieu d'utiliser un produit qui combine les deux pour obtenir un résultat de meilleure qualité. Donnez de longs coups de pinceau pour appliquer la lasure et le vernis. Assurez-vous d'éliminer les particules de poussière ou de saleté avec le tissu-éponge avant d'appliquer une nouvelle couche. Si vous ne travaillez pas sur un établi, posez une bâche de protection et ne portez pas de vêtements que vous aimez. Mettez aussi des gants de protection. Si vous tachez une autre surface que le bois, vous pourriez ne pas arriver à faire disparaitre la tache. Publicité À propos de ce wikiHow Cette page a été consultée 8 920 fois. Cet article vous a-t-il été utile ?

La plancha est un appareil de cuisson destinée à passer une bonne partie de l’année en extérieur. Qu'elle soit posée sur un chariot ou encastrée dans une cuisine d’été, sa protection est essentielle pour conserver à la fois son esthétisme, mais aussi ses sont les accessoires indispensables pour protéger une plancha ? Du couvercle pour plancha à la housse de protection, ils vous aideront à garder votre appareil pour de longues années. Protéger une plancha avec son couvercle Une protection supplémentaire avec la housse pour plancha Un protecteur pour acier anti corrosion Protéger une plancha avec son couvercle Le premier accessoire est le couvercle ou autrement appelé capot pour plancha. Très souvent vendu en option ou inclus avec la plancha, le couvercle figure parmi les accessoires pour plancha les plus a principalement deux fonctions celle de protéger la plancha lorsqu’elle n'est pas utilisée et de maintenir au chaud les aliments une fois la cuisson finie. Le couvercle pour plancha ne doit en aucun cas servir de couvercle pour la cuisson. Pour cuire les aliments, une cloche pour plancha sera modèle de plancha possède son propre couvercle. Il existe deux types de couvercles le premier pour les planchas à poser et le second pour les chariots avec planchas. Les planchas peuvent avoir un seul type de couvercle ou les en acier avec revêtement de protection ou en inox, les couvercles pour planchas s’installent très facilement. Ils disposent d’une poignée pour ouvrir et fermer rapidement et son dos est courbé pour éviter l’eau stagnante. Une protection supplémentaire avec la housse pour plancha En deuxième lieu, nous trouverons la housse pour plancha. Comme pour les mobiliers extérieurs ou le barbecue, la plancha se protège également avec une housse de protection. Parce que le couvercle ne permet pas toujours une protection et une étanchéité à 100 %, la housse peut s’utiliser en complément du housse de protection pour plancha doit être imperméable et respirante pour éviter les apparitions de moisissures. Pour la fixation et le maintien, privilégiez un cordon de type élastique qui, en cas de bourrasque, sera plus difficile à rompre qu’une corde classique. Un protecteur pour acier anti corrosion La visserie est une partie de la plancha et de son chariot que beaucoup d’utilisateurs néglige. Si certains modèles possèdent des vis en acier inox donc plus résistant à la corrosion, d’autres modèles sont susceptibles d’être munis d’acier classique. Il est important de prendre le temps occasionnellement de vérifier l’état de la visserie et de la protéger en cas de cela, n’hésitez pas à leur appliquer un protecteur pour acier.

Surune table en bois brut, sur une table teinte ou peinte, égrenez légèrement (très léger ponçage) au papier ponce ou papier verre grain 120. Cela facilitera l’accroche du vernis et sa tenue dans le temps. Etape 2 : Appliquez le vernis

Le bois d’extérieur face aux UV et à l’humidité Le bois d’extérieur a deux principaux ennemis les UV rayons ultraviolets de la lumière solaire et l’humidité. Les premiers provoquent une sorte de brûlure superficielle comme sur notre peau qui se traduit par des petites crevasses et du grisaillement. Rien de dramatique, le dommage est surtout esthétique et le bois n’est pas atteint en profondeur. Concernant l’humidité, elle pose des problèmes beaucoup plus sérieux. Si l’eau de pluie ne s’écoule pas ou ne s’évapore pas rapidement, si le bois reste au contact du sol ou si l’humidité peut remonter par capillarité, le taux d’humidité du bois va permettre l’installation de champignons lignivores. Ces derniers sont précurseurs de la pourriture. De plus, l’humidité favorise les attaques d’insectes xylophages. Peut-on alors éviter les traitements chimiques de préservation ? Des essences durables, sans aubier Quelques essences naturellement durables de nos régions peuvent être utilisées sans traitement. Notamment lorsque le bois est mis en œuvre verticalement classe de risque 3 et permet un bon écoulement de l’eau bardages, fenêtres, volets. Entre autres, le Douglas, le Mélèze, le châtaignier, le chêne et le robinier. Seules les trois dernières essences sont recommandées lorsque le bois est mis en œuvre horizontalement lames de balcons ou de terrasses, ou en contact avec le sol classe de risque 4. Ces bois doivent en outre être sélectionnés et coupés de manière à éliminer l’aubier, partie périphérique du tronc riche en sucres, qui attire les insectes xylophages. Bois rétifiés et thermohuilés Plusieurs procédés récents permet­tent d’améliorer la durabilité et la stabilité dimensionnelle d’autres essences. Ce sont les traitements thermiques à haute température 210 à 250 °C. A. Bosse-Platière Ils sont réalisés en plusieurs phases, dans des fours spéciaux. Soit sous atmosphère inerte avec de l’azote bois rétifié, soit avec des injections de vapeur d’eau bois thermo-traité finlandais. Le bois prend ainsi une belle couleur brune et devient hydrophobe qui dispose d’une protection imperméable. Il devient aussi très résistant aux attaques de champignons ou d’insectes. Cependant, la haute température fragilise ces bois, que l’on ne peut utiliser en structure. On les retrouve donc surtout en bardages, parquets, et lames de terrasses. Le procédé dit d’oléothermie ne présente pas cet inconvénient. A. Bosse-Platière Le bois n’est chauffé que jusqu’à 130 °C, avec une immersion dans un mélange à base d’huile de lin, et de dérivés oléagineux végétaux. Cette technique de “chimie verte” permet ainsi une imprégnation en profondeur. En outre, elle assure une plus longue résistance au grisaillement, et ne nécessite pas d’entretien régulier. Une réelle innovation française, développée par le Centre national de la recherche scientifique CNRS, le Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement CIRAD, et l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie ADEME pour la filière du bois. Ce programme fut ensuite transféré en 2004 vers la société Oléobois pour entreprendre sa commercialisation. De la sorte, cette méthode fut rapidement adoptée par le groupe industriel Provvedi industrie, ou encore, par Génération bois Ardèche forêt innovation et Arbos. Le procédé Wood-Protect, breveté en 2006 par l’équipe de recherche et développement de Lapeyre et l’Institut national polytechnique de Toulouse INPT, est du même type. Il y a toujours une imprégnation par autoclave, puis par trempage à 140 °C, dans un mélange de dérivés d’huiles végétales et d’acide acétique. Huiles, lasures et peintures La durabilité de certaines essences, comme le chêne et le châtaignier, est due en partie à leur forte teneur en tanins. Mais ces derniers sont progressivement lessivés par l’eau de pluie, légèrement acide. Comme les autres essences, le chêne et le châtaignier nécessitent donc une protection de surface. L’huile de lin, additionnée d’un peu d’essence de térébenthine, à utiliser par temps chaud car elle pénètre mieux, est une protection classique. Peu coûteuse et hydrofuge, elle retarde le grisaillement. Les lasures bio, colorées mais qui laissent voir le veinage du bois, apportent une meilleure protection contre les UV. Comment ? Grâce aux pigments qu’elles contiennent. Mais elles sont à renouveler tous les 3 à 5 ans pour les façades sud, et tous les 8 à 10 ans pour les façades nord. Contrairement aux peintures, elles ne nécessitent pas de ponçage préalable au renouvellement. C’est-à-dire qu’un coup de brosse suffit pour enlever la poussière de pigments. Quant aux peintures laques bio, elles assurent une protection plus durable puisqu’elles contiennent des charges surtout de la craie, qui forment un véritable écran contre les UV. C’est un peu comme pour les crèmes solaires. Bien entendu, la protection dépend de la qualité de l’écran et de l’exposition. Antoine Bosse-Platière

Teinterle bois avec du brou de noix. Recettes pour teinter le bois naturellement. Teinte noyer, chêne clair, chêne foncé, wengé De la plus foncée à la plus claire, comment obtenir différentes teintes de bois ? Recette déco : Lasure à la bière.

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Teinterle bois avec du brou de noix. Recettes pour teinter le bois naturellement. Teinte noyer, chêne clair, chêne foncé, wengé De la plus foncée à la plus claire, comment obtenir différentes teintes de bois ? Recette déco : Lasure à la bière. Protéger le bois en faisant soi-même de la lasure : a partir de bière et de pigments.

L’huile de lin, extraite des graines de lin séchées puis pressées, est connue depuis l’Antiquité pour ses vertus siccatives, c’est-à-dire son aptitude à sécher en présence de l’oxygène de l’air. On l’utilisera pure ou mélangée à des terpènes d’agrumes solvants naturels issus de la peau d’orange par exemple pour une protection des bois à l’intérieur, alors qu’elle sera mélangée à de l’essence de térébenthine pour l’extérieur. Les molécules d’huile de lin pénètrent en profondeur dans le bois et saturent les pores du bois en y prenant la place de l’air. On obtient donc un bois hydrofugé qui, cependant, continue à respirer. Ce bois peut alors être utilisé dans toutes les pièces, même humides. Finition Une fois le bois imprégné, il faut penser à appliquer de la cire de protection contre les salissures comme par exemple des cires balsamiques dures ou liquides, à base de cire d’abeille et de cire végétale. Pour les pièces humides on préférera une huile dure ou une lasure colorante à base d’huile.

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