Jabandonne une partie de moi que j’adapte est une variation sur les liens entre bonheur et travail, nourrie du documentaire Chronique d’un été de Jean Rouch et Edgar Morin, des films de Pierre Carles et de la pièce Je te regarde d’Alexandra Badea. Regards croisés sur les mécanismes d’aliénation collectifs et individuels d’une époque à l’autre, et ce que chacun
Sortir En Bretagne Finistère Finistère nord Morlaix Théâtre J’abandonne une partie de moi que j’adapte Évènement culturel Fête et manifestation Pièce de théâtre Spectacle Évènement culturel à Morlaix Quand ?du Jeudi 28 Avril 2022 au Vendredi 29 Avril 2022A quelle heure ? de 20h30 à 15h10 Où ? Morlaix29600 - Finistère nord - 27 Rue de Brest, Théâtre du Pays de Morlaix Non communiqué par l'organisateur ⮜ ➤ du Jeudi 28 Avril 2022 au Vendredi 29 Avril 2022de 20h30 à 15h10 Avec un regard poétique et politique, Justine Lequette et le collectif Group Nabla interrogent le bonheur, questionnent ce qui nous rend heureux et le sens de nos vies. En 1960, Jean Rouch et Edgar Morin posaient ces questions aux passants, aux étudiants, aux ouvriers C’est quoi le bonheur pour toi ? », Comment vis-tu ? », Est-ce qu’il y a quelque chose en quoi tu crois ? », dans Chronique d’un été, première expérience de cinéma-vérité en France. La metteure en scène Justine Lequette s’empare de ce film et en restitue quelques passages marquants. Quatre comédiens s’amusent à en rejouer quelques scènes, pour faire dialoguer ces mots d’hier avec ceux de notre société contemporaine. Par des glissements entre théâtre documentaire, extraits de textes dramatiques contemporains et écriture de plateau, ils cheminent d’une époque à l’autre pour tenter de redonner à la question du bonheur toute sa beauté et sa vitalité. Source des données DATATourisme Envie de manger près de Morlaix ? Découvrez nos suggestions de restaurants à Morlaix Se loger près de Morlaix ? Trouvez une location de vacances à Morlaix Morlaix Morlaix [mɔʁlɛ], est une commune française de Bretagne, située dans le nord-est du département du Finistère. Elle est une sous-préfecture et par conséquent chef-lieu de l'arrondissement de Morlaix, dont elle est la commune la plus peuplée avec 14 845 habitants en 2019 14 559 en 2017, alors chiffre le plus bas depuis 1936, ce qui la place au 6e rang départemental derrière Guipavas, au 21e rang régional et au 657e rang national hors Mayotte, ce dernier chiffre étant valable pour l'année 2017. Elle est au centre d'une aire d'attraction rassemblant 61 629 habitants 2019 et de la communauté d'agglomération Morlaix Communauté. Située en retrait de la côte nord du Finistère, en fond de ria, cette ville-pont est souvent victime d'inondations les dernières graves inondations sont survenues en 1974, 1995, 2013 et 2018 car elle est au confluent de deux rivières, le Queffleut et le Jarlot, qui forment le Dosenn ou rivière de Morlaix qui se jette dans la Manche, en baie de Morlaix. Elle fait partie du Trégor et du Léon, deux pays historiques délimités par le Dosenn. Ils sont séparés même en ville, comme en témoigne l'existence du quai de Tréguier et du quai du Léon. La ville est notamment connue pour son viaduc construit au XIXe siècle en plein centre-ville, ce qui lui vaut le surnom de Cité du Viaduc ». Ses habitants sont appelés les Morlaisiens et les Morlaisiennes. source wikipedia
Jabandonne une partie de moi que j'adapte. Comment vivez-vous ? Êtes-vous heureux ? En 1960, Jean Rouch et Edgar Morin, pratiquant le cinéma vérité, sont allés poser ces questions à de jeunes français, étudiants, ouvriers, et cetera. Le documentaire Chronique d’un été marqua autant l’époque qu’il en témoignait. Justine Lequette, plus d’un demi-siècle plus tard, en fait le
C’est quoi le bonheur ? Avec humour et justesse, J’abandonne une partie de moi que j’adapte nous fait voyager des années 60 à l’époque actuelle pour questionner notre besoin d’utopie et le sens que l’on donne à notre vie ! Êtes-vous heureux ? C’est la délicate question posée par Jean Rouch et Edgar Morin dans le documentaire Chronique d’un été en 1960. Inspirée par ce cinéma-vérité, Justine Lequette s’est emparée de cette matière pour interroger notre rapport à la vie, au travail, au bonheur, à l’amour, aux utopies… Sur scène, quatre talentueux comédiens reproduisent les témoignages récoltés à l’époque dans les rues de Paris. Mais qu’en est-il actuellement ? Après cette plongée dans les Golden Sixties, la pièce nous ramène à l’instant présent pour mettre les deux époques en perspective. Énergique, drôle et intelligent, ce spectacle réveille en nous le désir d’autres possibles et nous invite à réfléchir en toute liberté à la notion de bonheur ! Projet et mise en scène Justine Lequette I Écriture collective I Interprétation Rémi Faure, Benjamin Lichou, Jules Puibaraud, Léa Romagny I Assistant à la mise en scène Ferdinand Despy I Création lumière Guillaume Fromentin I Création Studio Théâtre National Wallonie-Bruxelles I Production Théâtre National Wallonie-Bruxelles I Coproduction Group Nabla I Projet issu d’un Solo Carte Blanche de l’ESACT I Soutien l’ESACT, La Chaufferie-Acte1, Festival de Liège, Eubelius, Wallonie-Bruxelles International I Le spectacle inclut des extraits de textes et d’images de Je te regarde d’Alexandra Badea, L’Arche Editeur, ; Attention Danger Travail et Volem Rien Foutre al pais, Pierre Carles, Christophe Coello & Stéphane Goxe, C-P Productions ; Chronique d’un été, Jean Rouch & Edgar Morin, Argos films I Remerciements Nathanaël Harcq, Annah Schaeffer, Astrid Akay & Jo De Leuw.
Vendredi22 avril 2022, théâtre à Quai 9, J’abandonne une partie de moi-même que j’adapte, à 20 h. Tarifs : de 5 € à 29 €. Renseignements et
Ajouter à une liste de favoris Évènement passé Théâtre de la Madeleine, 10000 Troyes Consulter les horaires Covid-19 À propos Date Situation Avis À proximité Covid-19 Précisions ouvertures Covid-19 À propos A 20h00J’ABANDONNE UNE PARTIE DE MOI QUE J'ADAPTEInitié et mis en scène par Justine LequetteC’est quoi le bonheur ?Justine Lequette s’inspire du film documentaire Chronique d’un été de 1961», réalisé par le sociologue Edgar Morin et le cinéaste-anthropologue Jean Rouch. Accompagnée de quatre acteurs, elle reprend des séquences de ce premier “cinéma-vérité” pour questionner le sens de la vie dans la société d’alors et celle d’aujourd’hui. Elle confronte les questionnements existentiels d’après-guerre avec ceux de la jeunesse si le sujet est sérieux, il est traité ici avec la légère distance de l’humour qui invite à réfléchir en toute une partie de moi que j’adapte est une pratique d’écriture de plateau collective très la fin, nus, dépouillés, un peu perdus, les comédiens laissent derrière eux les oripeaux d’un monde dans lequel ils semblent ne plus se à partir de 16 ans - Durée 1h10Mise en scène Justine LequetteAvec Rémi Faure, Benjamin Lichou, Jules Puibaraud, Léa Guillaume FromentinProduction Studio Théâtre National Wallonie-BruxellesSpectacle saison 2019-20 reporté,Les billets achetés en saison 2019-20 sont valables pour cette nouvelle l’agenda officiel de toutes les animations sur Date Situation Avis 2 À proximité Restaurants Original Burger Speed Rabbit Pizza Sandwicherie Le 15 Le Polipo Tante Reine Saveur d’Asie Lak’s Tacos O’Zen Let’s EatAudépart, il y a le film : 'Chronique d’un été', exploration documentaire de la notion de bonheur, de Jean Rouch et Edgar Morin. Ensuite, du cinéma
Justine Lequette signe une première pièce admirable, poétique et politique, questionnant ce qui nous rend heureux. Du 16 au 20 mars 2021 au Théâtre de Liège. Du 5 au 8 mai au Théâtre de Namur. Article réservé aux abonnés Publié le 22/11/2017 à 1434 Temps de lecture 4 min La ressemblance est époustouflante. La moustache, la façon de tenir une cigarette, le style de la cravate, l’intonation traînante, le phrasé parisien des années 60 tout est exactement à l’identique, au millimètre près. Voilà donc le film d’Edgar Morin et Jean Rouch, Chronique d’un été , tourné en 1960, qui prend vie sous nos yeux avec un réalisme confondant, un mimétisme hallucinant. Il y a pourtant un détail qui cloche le noir et blanc du film a laissé place à la couleur. Logique nous sommes en 2017 sur le plateau du Théâtre National. Cet article est réservé aux abonnés Avec cette offre, profitez de L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction Le journal en version numérique Un confort de lecture avec publicité limitée Le fil info La Une Tous Voir tout le Fil info
JABANDONNE UNE PARTIE DE MOI QUE J'ADAPTE Un projet initié et mis en scène par Justine Lequette. Ecriture collective Avec Rémi Faure, Benjamin Lichou, Jules Puibaraud, Léa Romagny. Assistant à la mise en scène
ÇA VA ? publié le 22/11/2018 Théâtre Sorano Cette troisième édition du festival Supernova se poursuit dans la joie et l’exigence artistique au Sorano avec une nouvelle pépite, proposée par le Group NABLA. J’abandonne une partie de moi que j’adapte est une variation sur les liens entre bonheur et travail, nourrie du documentaire Chronique d’un été de Jean Rouch et Edgar Morin, des films de Pierre Carles et de la pièce Je te regarde d’Alexandra Badea. Regards croisés sur les mécanismes d’aliénation collectifs et individuels d’une époque à l’autre, et ce que chacun en fait pour, tout de même, vivre. Et c’est bien cela qui émerge de cette pièce, du début à la fin une extrême vitalité. Comment tu te débrouilles avec la vie ? » Le ton est donné avec cette petit fille espiègle, qui fixe le public dès l’entrée dans la salle et lui livre son regard si simplement lucide sur le monde qu’on lui propose. Parce que rester sage comme une image, c’est ennuyeux ; qu’elle trouve qu’être récompensée d’une gommette par la maîtresse c’est quand même pas cher payé, et qu’elle voudrait pouvoir faire ses trucs ». Se lever tard et que l’avenir lui appartienne quand même. Iconique sur sa balançoire, que l’on imagine sauter dans les flaques et se faire des moustaches en chocolat, transgressive juste parce qu’elle ne fait pas semblant d’y croire, elle vient déjà chatouiller en chacun cette part de lui qu’il abandonne chaque matin avec l’alarme de son réveil, et souvent bien au-delà. Un saut dans les flaques que l’on perçoit encore à travers la jubilation des comédiens à jouer Morin et Rouch tournant leur docu-vérité en 1960, l’un des premiers du genre. Imper beige, chaussures cirées, cravate tricot, lunettes en écaille et abat-jour à franges, qui ne tiennent pas seulement de la panoplie vintage. En effet, à travers la fumée des cigarettes, c’est un phrasé, une gestuelle, une pensée qui s’élèvent. Ceux d’une époque, restitués de façon d’autant plus saisissante que la mise en scène joue avec les codes de l’illusion théâtrale, les dénonçant tout en les maniant avec dextérité. Ici, on ne fait pas semblant. Comme dans Chronique d’un été, où l’on voit le documentaire se construire en même temps qu’il propose un questionnement sur le bonheur plus complexe que l’Histoire ne veut bien s’en souvenir. Comme dans les films de Pierre Carles où, dans les années 2000, la juxtaposition des excès qu’ils dénoncent amène aux frontières de l’absurde, révélant des caricatures que nulle fiction n’oserait. C’est à la faveur d’un air à l’eau de rose de Françoise Hardy où les basses poussent de plus en plus fort que s’opère le glissement des trente glorieuses à 2018. Jeans, baskets et sweet à capuche ou costume bleu marine selon de quel côté de la barrière on se trouve. Changement à vue de ton et de lexique. Simple et virtuose. Débats d’entreprise et discours électoraux bien connus, évaluation des taux de bonheur, de confiance et de productivité, lettres de motivation. Ou pas. Car si nous manquons de travail, nous ne manquons pas de celui-là », note ce pertinent postulant. Le bonheur implique un pas de côté » Un théâtre qui ne se veut pas sociologique, mais qui en garde la posture questionner, sans donner les réponses. Et le sociologue sait bien que la question n’est jamais innocente. Pas d’illusion d’objectivité. Mais une vraie sincérité à chercher ensemble. Changer d’angle de vue, jouer – vraiment jouer – avec ses représentations, trouer le réel un peu, beaucoup, à sa guise et voir où l’on en est. Hisser un immense écran comme une voile de pirate pour le regarder en grand, et alors peut-être, tomber la veste. Affronter le froid et aller surfer sur les vagues– ou sauter dans les flaques, c’est selon. Pas par romantisme ou par idéalisme. Pas pour sortir de la société. Y retourner plutôt. Comme un sursaut de vie. Agathe Raybaud
Évènementculturel Fête et manifestation - Avec un regard poétique et politique, Justine Lequette et le collectif Group Nabla interrogent le bonheur, questionnent ce qui nous rend heureux et le sens de nos vies. En 1960, Jean Rouch et Edgar Morin posaient ces questions aux passants, aux étudiants, aux ouvriers : « C’est quoi le bonheur pour toi ? », « Comment vis-tu
Après le Théâtre des Doms à Avignon, c’est au Festival Impatience que le Group Nabla présente sa première création, J’abandonne une partie de moi que j’adapte. Un subtil questionnement de la notion de bonheur, basé sur le célèbre documentaire Chronique d’un été 1960. L’héritage des années 60, depuis quelques temps et plus encore le cinquantenaire de Mai 68, donne matière à penser à de nombreux artistes de théâtre. On connaît par exemple l’intérêt de Julie Deliquet pour cette période. On se rappelle de Tout ce qui nous reste de la révolution, c’est Simon 2010 du collectif l’Avantage du Doute, repris cette année lors de l’Occupation du Théâtre de la Bastille par la compagnie. Ou encore du reenactment de l’occupation de l’Odéon pendant un mois par un Comité d’Action révolutionnaire orchestré en avril dernier par le Birgit Ensemble avec les élèves de troisième année du Conservatoire National. Avec J’abandonne une partie de moi que j’adapte, le jeune Group Nabla, en compétition au Festival Impatience, confirme que ce morceau d’Histoire sied particulièrement aux collectifs. Née à la sortie de l’école de théâtre de Liège, l’ÉSACT, la compagnie belge s’y attaque en partant de Chronique d’un été de Jean Rouch et Edgar Morin. Un film qui, précise une voix off en guise d’introduction, n’a pas été joué par des acteurs mais vécu par des hommes et des femmes qui ont donné des moments de leur existence à une expérience nouvelle de cinéma-vérité ». Pour la metteure en scène Justine Lequette et les comédiens Léa Romagny, Rémi Faure, Benjamin Lichou et Jules Puibaraud, le choix de cette œuvre impose de trouver une manière de traduire au plateau une spontanéité. Un ancrage dans ce que le présent a de plus intime les doutes des individus. Leurs croyances, leurs utopies. Ils y réussissent avec talent en mêlant au scénario du film de 1960 des matériaux contemporains la pièce Je te regarde d’Alexandra Badea et deux documentaires de Pierre Carles, Christophe Coello et Stéphane Coxe sur le travail. Le Group Nabla se révèle ainsi maître dans l’art de réactiver les questions d’hier et de les mettre au diapason d’aujourd’hui. Un décor modulable où trône une bibliothèque leur suffit. Les questions – Êtes-vous heureux ? » par exemple, ou comment te débrouilles-tu avec la vie ? » – qu’ils déclinent à travers une succession de scénettes ont beau être des plus sérieuses, les quatre artistes les abordent avec une légèreté réjouissante. Avec une évidente joie d’être au plateau, qui doit beaucoup à l’implication de tous les comédiens dans l’écriture du spectacle. Au fil de ses habiles allers-retours entre les époques, J’abandonne une partie de moi que j’adapte, se dessinent quelques changements, qui touchent surtout au vocabulaire et aux attitudes. Et beaucoup de stagnations. Après un saut temporel par exemple, le monologue néolibéral d’un patron marque en effet une parfaite continuité avec les souffrances ouvrières et étudiantes exprimées auparavant. Lesquelles auguraient un vent nouveau… Anaïs Heluin – J’abandonne une partie de moi que j’adapte Un projet initié et mis en scène par Justine Lequette Ecriture collective Avec Rémi Faure, Benjamin Lichou, Jules Puibaraud, Léa Romagny Assistant à la mise en scène Ferdinand Despy Création lumière Guillaume Fromentin Projet issu de Solo Carte Blanche de l’ESACT Production Création Studio Théâtre National Wallonie-Bruxelles Coproduction Group Nabla Avec le soutien de L’ESACT, La Chaufferie-Acte1, Festival de Liège Avec le soutien de Eubelius & Wallonie-Bruxelles International Remerciements Nathanaël Harcq, Annah Schaeffer, Astrid Akay et Jo De Leuw Durée 1h10 Festival Impatience – Théâtre de Gennevilliers Les 11 et 12 décembre 2018 Théâtre Paul Eluard Choisy-le-Roi Le 2 avril 2019 Théâtre de L’Aire Libre Rennes Les 4 et 5 avril 2019 Théâtre des Quatre Saisons Gradignan Le 2 mai 2019Complet Lors de la première partie de “J’abandonne une partie de moi”, quatre jeunes comédiens interprètent des scènes d’un documentaire de 1960 de Jean Rouch et Edgar Morin, “Chronique d’un été”, où l’on s’interroge sur le bonheur et la place du travail dans nos vies. Le ton et le phrasé désuets, le vin rouge et
Fiction documentée, dès 16 ans - Group Nabla Paris, été 1960. Répondant au micro d’Edgar Morin et Jean Rouch, un panel d’ouvriers, étudiants, employés, s’expriment sur leurs préoccupations et espoirs dans Chronique d’un été. Avec pour point de départ ce documentaire, quatre comédiens, emmenés par Justine Lequette, nous plongent dans un instantané de vie de la France d’alors. Phrasé désuet, vin rouge, swing et cigarettes, look et mobilier sixties, dessinent ce monde un peu oublié et nostalgique, entre les 30 glorieuses et mai 68. Changement de décor et d’ambiance, la deuxième partie du spectacle, contemporaine, dresse le parallèle entre ces deux époques. Séquences documentaires, extraits de pièces, de poésies, discours politico-économique, viennent nourrir cette écriture collective, sur la question du bonheur et la place du travail dans nos vies aujourd’hui. La superposition de ces deux regards met en exergue les dérives du capitalisme et les changements socio-économiques dans un monde qui, un demi siècle plus tard, est à la fois le même et bien différent. Un théâtre choral, comique et engagé porté par la notion de fiction documentée ».
J’abandonne une partie de moi que j’adapte » est une création collective issue d’une pratique d’écriture de plateau très aboutie et d’une dynamique collective formidable. L’exceptionnelle syntonie qu’il y a dans le
Exercice pendant la canicule En fait, j'essaie de faire de l'exercice même pendant les canicules parce que ça m'aide à mieux gérer et supporter la chaleur. Mais laissez-moi prendre un peu de recul pour mieux expliquer. Hier sprechen Sie alle möglichen Korrektoren an, also würde ich ein Plural verwenden Quand il fait très chaud – c'est à -à-dire plus de trente degrés – j'ai tendance à me sentir assez languider et à vouloir rester la pluchez moi la majeure partie de la journée chez moi. „languir“ bedeutet schon „apathisch/schlaff sein““Eine kleine „kulturelle“ Bemerkung Nebensächliche Zusätze zu einem Hauptsatz werden eher zwischen Klammern ausgedrückt, nicht wirklich hinter Bindestrichen Là, il m'aide beaucoup d'avoir des rendez-vous et des événements répartis sur la semaine, qui m'empêchent de devenir trop paresseuxr. „rendez-vous“ bedeutet „Verabredungen“ oder „Rendezvous“ — beim Arzt, für die Arbeit usw. Wenn Sie einfach geplannte Aktivitäten meinen, dann wäre „activités“ besser Et le sport en fait partie. J'assiste à un cours de fitness une ou deux fois par semaine. assister À qqch Là, il y a une personne dans leau centre de la salle qui montre les exercices, et tout le monde l'encercle etse met autour de lui puis essaie de l'imiter. „encercler“ klingt sehr... militärisch -D„puis“ um zu vermeiden, „et“ zu wiederholen On fait une partie de la cardio et après une, partie plus courte de la musculationmusculation plus courte. In einem solchen Kontext würde es kein „de“ geben besonders in modernem, gesprochenem Französisch Le tout est accompagné par de la musique très forte et un peu chiante, soyons honnêtes et dure soixante-quinze minutes. „chiante“ ist sehr umgangssprachlich und sogar unhöflich in vielen Kontexten aber ich vermute, dass sie es schon wissenWeniger umgangssprachlich, aber akzeptabler = et un peu gonflante Pendant la canicule, lesa premières quinze ou vingt minutes sont de l'aine de minutes est un enfer. „quinzaine“ ist definitionsgemäß etwas Unklares es kann 15 oder 20 Minuten sein also können Sie den Satz einfacher machen, wenn Sie dieses Wort benutzen Mais après ça va et mon corps s'adapte. Et quand je sors de la salle de sport, la chaleur dehors est beaucoup plus supportable, et je me sens largement mieux. sortir DE qqchAm Anfang dürfen Sie „DONC, quand je sors [...]“ schreiben, wenn Sie vermeiden wollen, „et“ zu wiederholen Overall feedback & comment Two or more people need to make corrections in order for the corrections to be grouped. You need LangCorrect Premium to access this feature. UpgradeJabandonne une partie de moi que j'adapte Justine Lequette Création Studio Théâtre national Wallonie Bruxelles (Belgique) Voilà une pièce d'aujourd'hui, lauréate du Prix Impatience 2018, au ton apparemment léger, à la forme plaisante et très enlevée.
durée 1h10 tarif A plein 20€ réduit 16€ jeune 8€/5€ solidaire 3€ réserver ma place conception, mise en scène Justine Lequette, écriture collective avec Rémi Faure, Benjamin Lichou, Jules Puibaraud, Léa Romagny, assistanat à la mise en scène Ferdinand Despy, création lumière Guillaume Fromentin, régies Jacques Perera, Jeison Pardo Rojas, John Ludovic Le spectacle J’abandonne une partie de moi que j’adapte inclut des extraits de la pièce Je te regarde d’Alexandra Badea, représentée et publiée dans son intégralité par L’Arche Editeur. textes des films Attention Danger Travail et Volem Rien Foutre al pais réalisés par Pierre Carles, Christophe Coello et Stéphane Goxe et produits par C-P Productions textes et images du film documentaire Chronique d’un été, réalisé par Jean Rouch et Edgar Morin et produit par Argos films, lauréat du prix du public impatience 2018 production création Studio Théâtre National Wallonie-Bruxelles 17/18 coproduction Group Nabla avec le soutien de L’ESACT, La Chaufferie-Acte1, Festival de Liège, Eubelius & Wallonie-Bruxelles International remerciements particuliers Nathanaël Harcq, Annah Schaeffer, Astrid Akay et Jo De Leuw Théâtre National Wallonie-Bruxelles Justine Lequette J’abandonne une partie de moi que j’adapte… Après l’expérience vécue ces derniers mois par chacun et chacune d’entre nous, comment ne pas reprogrammer ce spectacle qui aborde, de manière à la fois poétique et politique, la question du travail et plus encore du bonheur. Leur point de départ Chronique d’un été, film de Jean Rouch et Edgard Morin, exploration documentaire de la notion de bonheur, sorti en 1960. Profondément marqués par ce film, Justine Lequette et ses acolytes en reprennent les questions-clés, adressées à des passants, étudiants, ouvriers, employés ou immigrés. Ces questions, qui portent sur le travail, le bonheur mais aussi la vie, les utopies, ils se les posent aujourd’hui. Et elles résonnent de manière plus vivace encore maintenant. Dans une esthétique réaliste, mais qui prend toujours une dimension ludique, ils mettent les deux époques en perspective. Du cinéma-vérité des années soixante, nous glissons vers le théâtre, un théâtre contemporain et facétieux porté par cinq jeunes comédiens d’une grande justesse. Ils s’interrogent et nous interrogent. C’est quoi le monde dans lequel nous vivons ? Et si nous faisions le pari de la confiance en l’intelligence humaine ? Une réappropriation drôle et brillante. C’est fin, c’est rythmé, très inventif. Jouissif. Médiapart